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Le renard (Vulpes vulpes) est un mammifère de la famille des Canidés. Sa morphologie, ses comportements, son régime alimentaire sont autant de caractéristiques qui lui confèrent une grande capacité d'adaptation. Nous vous invitons à explorer la plasticité de cet Être.


Répartition :
Il est de tous les carnivores celui dont l'aire de répartition actuelle est la plus vaste. Il est présent en Amérique du Nord, en Afrique du Nord et dans la plus grande partie de l'Asie jusqu'au Japon. Il a été introduit en Australie et dans plusieurs Îles du Pacifique. En Europe, bien qu'absent en Islande ou en Crête, il est présent partout, Il s'adapte aux milieux les plus difficiles. C'est un « urban adapter » car il vit aussi en Ville, comme à Londres, Genève, Bruxelles, Madrid. Le renard est une partie de la biocénose Parisienne.

Morphologie :
Le renard est de taille moyenne, il pèse de 5 à 7 Kg environ. Relativement bas sur patte, nous le reconnaissons aisément grâce à son museau allongé, ses oreilles pointues, sa longue queue touffue et sa fourrure qui offre une gamme de couleurs rousses du Jaune au Marron avec des touches blanches et noires. De cet aspect apparemment fragile, il tire une force et une agilité remarquable.

Comportement alimentaire :
Vulpes vulpes a une grande variabilité de comportements alimentaire, spatial, reproducteur et social. Le régime alimentaire du Renard diffère considérablement d'un endroit à l'autre, d'une saison à l'autre. Il prélève en proportion de la disponibilité des proies, ces dernières peuvent être les lombrics, les carcasses d'ongulés en décomposition, les déchets humains, les fruits ou encore les poissons… La chasse du Renard consiste à patrouiller puis constituer un garde-manger qu'il cache et mémorise puis exploite durant quelques jours.

Comportement social sur un territoire :
Quelque soient les saisons, c'est un animal nocturne, il se repose tranquillement le jour souvent à l'air libre. La nuit, il peut parcourir 10 à 15 km dans un domaine vital qui représente en moyenne 300 à 400 hectares, à Paris la zone sera certainement plus proche des 50 hectares. Les excursions hors du territoire sont d'origine sexuelle, alimentaire ou sociale, par exemple l'émancipation des jeunes peut produire de grandes Odyssées (30 à 100 km, mais il manque des donnés). Présumé solitaire, le renard est une espèce sociale et durant son existence, il peut avoir différent statut mais le couple de partenaires (relation plus ou moins étroite et permanente) reste l'organisation de base.

La saison des amours :
La saison des amours est en hiver. La maturité sexuelle est atteinte à 10 mois environ en fonction de la durée de l'éclairement journalier. En janvier, durant la période des chaleurs (oestrus) à laquelle la femelle est fécondable et peut s'accoupler avec plusieurs mâles, ce dernier peut également accepter d'autres femelles. Dans le terrier de reproduction, passée la gestation de 54 jours, le nombre de renardeau par portée est environ de 4 ou 5. Après avoir parfois parcourue des kilomètres (30 à 100 km), le jeune prend une place vacante, celle laissée par la disparition d'un adulte.

Interaction avec l'Homme :
Avec Vulpes vulpes, nous cohabitons, il peut transmettre des maladies (rage, échinococcose…), cependant, il est un facteur limitant à la propagation des petits rongeurs. En 2009, en France, les préfectures décrètent selon leurs habitudes et pour des raisons sanitaires que Vulpes vulpes est un nuisible, idem à Paris. Malgré tout, le renard résiste et s'adapte à nos comportements. Vulpes vulpes est assez peu connu par le commun, en forte interaction avec l'Homme, il mérite une attention particulière tellement il est complexe.

Mortalité
Alors qu'en captivité, Vulpes Vulpes pourrait vivre comme un chien durant 15 ans, libre, sa durée de vie ne dépasse guère 2 ans, souvent, ses aventures sont intenses et courtes. Les causes de sa mortalité sont aussi nombreuses que la diversité de ses comportements ou de ses milieux, cependant la circulation automobile est son mal du siècle et la Chasse sous toutes ses formes continue à le nuire. À part l'Homme, il a peu de prédateur (lynx ou aigles).

Personnage culturel :
Goupil, Maître renard, Roman de renart, Fox Mulder, Firefox, Zorro, ami du petit prince, la table du renard chez les Dogons, Inari chez les japonais,... Vulpes, ici ou ailleurs, continue d'inspirer à l'Homme des voix intermédiaires, au delà du bien et du mal, une étrange faculté sympathique de juger librement.



Le Milieu

Lieu commun :
Paris grand ! Paris musée ! Paris concentré ! Mais Paris vivante… surtout aux endroits affranchis de la gestion. Cette Ville totale ne semble plus avoir besoin d'être présentée. Mais dans ce Climat Océanique dégradée, où la topographie révèle des collines sous le manteau de toit gris que le métropolitain fait oublier, l'urbain fantasme. Cette cuvette dans le Bassin Parisien, aujourd'hui, passe des strates aux trames, et, au fil de l'eau, la Seine modèle toujours ses rives.

Singulier :
Parfois hors du contrôle, la biodiversité fait son lit. Malgré les dérives psycho-géographique, les Bretons, les catacombes, les grandes explorations ou les petites révolutions, malgré toutes ses lumières, à Paris, il nous est difficile d'y voir clair dans le jeu du vivant. Par exemple, la petite ceinture devient un couloir des miracles où le marginal croise l'indigène Pipistrelle.

Vincennes :
Le terrain d'étude situé donc à Paris est centré sur les bois de Vincennes. Le parc est de 995 hectares. Il réunit des équipements (hippodrome, vélodrome, écoles, ferme pédagogique, …), plusieurs lacs artificiels, différentes essences d'arbres. Il fut un terrain de chasse des Rois, un champ de tir et d'entrainement militaire après la révolution, puis à la guise de Napoléon III, Alphand esquissait, creusait et plantait, ce que, aujourd'hui, le website des bois de Vincennes décrit comme le poumon de Paris (lien sur le site : http://www.boisdevincennes.com).

Habitat :
Des terriers de Renards sont localisés dans les bois de Vincennes. Bien que les obstacles divers sont nombreux, le parc n'est pas clôturé, ce qui permet à Vulpes vulpes de se mouvoir la nuit et peut être même de rejoindre les Buttes-Chaumont, via la petite ceinture. N'ayant pas de données précises sur les Renards Parisiens et la manière dont ils se meuvent, ce projet soulève des questions sur la place de ces prédateurs dans cette ville. Grâce à ces 2 individus en liberté surveillée, nous pouvons analyser des interactions.

Le piégeage

Capture :
Pour suivre ces 2 individus, il nous faut les capturer. Cette action n'est pas anodine. Comme la "Nature", cet animal est sujet de droit. Ainsi, il faut respecter la législation Française en vigueur et suivre une procédure (faire un lien avec légifrance). Ensuite le piégeur agrémenté et muni des autorisations s'engage sur le terrain. Après avoir appâté la proie, habitué les animaux, il pose des pièges. Ces derniers sont de différentes qualités, bien employés, avec des visites nocturnes quotidiennes et une veille vétérinaire, le piégeage présente des risques maîtrisés pour Vulpes vulpes. Les 2 renards capturés, nous les manipulons avec toute l'attention et le respect qu'il nécessite. Un compte rendu de l'opération de piégeage sera détaillé prochainement sur http://www.vulpevulpe.com.


Le radio pistage :
Une fois Vulpes vulpes capturé et ses prélèvements pour un bilan de santé effectués, nous lui posons un collier GPS (de type Retrieva (faire un lien)) afin de suivre ses déplacements. Pour respecter leur tranquillité, les résultats de leurs déplacements seront diffusés avec un décalage, de plus, l’emplacement de leurs terriers et leurs lieux de repos seront cachés. Au bout d'un mois les colliers GPS tombent d'eux-mêmes car ils sont équipés de système DROP OFF (de type TRD de Lotek (faire un lien)), ils recouvrent ainsi une certaine liberté en milieu urbain. Nous garantissons ainsi le bien-être des 2 individus.



Caroline Henry

Docteurs en éco-éthologie
Télécharger sa thèse (PDF)

Pauline Hubert

Docteurs en éco-éthologie
Télécharger sa thèse (PDF)

Le Parc Zoologique de Paris

(Muséum National d’Histoire Naturelle)
www.mnhn.fr

Les Services des Parcs de la Ville de Paris


Retrieva


Geotraceur


Lotek


Romain Jacquet

webmestre
www.corcules.com

Thierry Boutonnier


Remerciements
Fabrice Bernard
Lauranne Germond
Caroline Henry
Pauline Hubert
Sylvie Laidebeurre (mnhn-Zoo de Vincennes)
Alexis Lecu (mnhn-Zoo de Vincennes)
Lotek (Mario Henriques)
Michel Neff
Retrieva et geotraceur ( Andy Stewart, Jon Bryan, Charles Marinier)
Le WWF
Carole Balducci
François Moutou
Philippe Clergeaux
Marc Artois
Alexis Martin
François Léger
Richard Bigburn
Yves Handrich (CNRS - CEPE)
François Ogé (biotope)
Marie Lazarine Poulle (dir CERFE)
Philippe Cannesson (biotope)
Michel Catusse, François Léger,Samatha Rossi, Sandrine Ruette (ONCFS)
Émilie collavet



Bilbiographie

"Un Eléphant dans un Jeu de Quille",
Pierre Barbault, Edition du Seuil.

La thèse de Caroline Henry disponible sur le site du CERFE :
Henry04_PhDrenard.pdf

La thèse de Pauline Hubert du CERFE :
Hubert2008_PhD herisson.pdf

"Le Renard"
Jean Steve Miea, Edition Delachaux et Niestlé.






Le renard (Vulpes vulpes) est un mammifère de la famille des Canidés. Sa morphologie, ses comportements, son régime alimentaire sont autant de caractéristiques qui lui confèrent une grande capacité d'adaptation. Nous vous invitons à explorer la plasticité de cet Être.


Répartition :
Il est de tous les carnivores celui dont l'aire de répartition actuelle est la plus vaste. Il est présent en Amérique du Nord, en Afrique du Nord et dans la plus grande partie de l'Asie jusqu'au Japon. Il a été introduit en Australie et dans plusieurs Îles du Pacifique. En Europe, bien qu'absent en Islande ou en Crête, il est présent partout, Il s'adapte aux milieux les plus difficiles. C'est un « urban adapter » car il vit aussi en Ville, comme à Londres, Genève, Bruxelles, Madrid. Le renard est une partie de la biocénose Parisienne.

Morphologie :
Le renard est de taille moyenne, il pèse de 5 à 7 Kg environ. Relativement bas sur patte, nous le reconnaissons aisément grâce à son museau allongé, ses oreilles pointues, sa longue queue touffue et sa fourrure qui offre une gamme de couleurs rousses du Jaune au Marron avec des touches blanches et noires. De cet aspect apparemment fragile, il tire une force et une agilité remarquable.


Comportement alimentaire :
Vulpes vulpes a une grande variabilité de comportements alimentaire, spatial, reproducteur et social. Le régime alimentaire du Renard diffère considérablement d'un endroit à l'autre, d'une saison à l'autre. Il prélève en proportion de la disponibilité des proies, ces dernières peuvent être les lombrics, les carcasses d'ongulés en décomposition, les déchets humains, les fruits ou encore les poissons… La chasse du Renard consiste à patrouiller puis constituer un garde-manger qu'il cache et mémorise puis exploite durant quelques jours.

Comportement social sur un territoire :
Quelque soient les saisons, c'est un animal nocturne, il se repose tranquillement le jour souvent à l'air libre. La nuit, il peut parcourir 10 à 15 km dans un domaine vital qui représente en moyenne 300 à 400 hectares, à Paris la zone sera certainement plus proche des 50 hectares. Les excursions hors du territoire sont d'origine sexuelle, alimentaire ou sociale, par exemple l'émancipation des jeunes peut produire de grandes Odyssées (30 à 100 km, mais il manque des donnés). Présumé solitaire, le renard est une espèce sociale et durant son existence, il peut avoir différent statut mais le couple de partenaires (relation plus ou moins étroite et permanente) reste l'organisation de base.

La saison des amours :
La saison des amours est en hiver. La maturité sexuelle est atteinte à 10 mois environ en fonction de la durée de l'éclairement journalier. En janvier, durant la période des chaleurs (oestrus) à laquelle la femelle est fécondable et peut s'accoupler avec plusieurs mâles, ce dernier peut également accepter d'autres femelles. Dans le terrier de reproduction, passée la gestation de 54 jours, le nombre de renardeau par portée est environ de 4 ou 5. Après avoir parfois parcourue des kilomètres (30 à 100 km), le jeune prend une place vacante, celle laissée par la disparition d'un adulte.

Interaction avec l'Homme :
Avec Vulpes vulpes, nous cohabitons, il peut transmettre des maladies (rage, échinococcose…), cependant, il est un facteur limitant à la propagation des petits rongeurs. En 2009, en France, les préfectures décrètent selon leurs habitudes et pour des raisons sanitaires que Vulpes vulpes est un nuisible, idem à Paris. Malgré tout, le renard résiste et s'adapte à nos comportements. Vulpes vulpes est assez peu connu par le commun, en forte interaction avec l'Homme, il mérite une attention particulière tellement il est complexe.


Mortalité
Alors qu'en captivité, Vulpes Vulpes pourrait vivre comme un chien durant 15 ans, libre, sa durée de vie ne dépasse guère 2 ans, souvent, ses aventures sont intenses et courtes. Les causes de sa mortalité sont aussi nombreuses que la diversité de ses comportements ou de ses milieux, cependant la circulation automobile est son mal du siècle et la Chasse sous toutes ses formes continue à le nuire. À part l'Homme, il a peu de prédateur (lynx ou aigles).

Personnage culturel :
Goupil, Maître renard, Roman de renart, Fox Mulder, Firefox, Zorro, ami du petit prince, la table du renard chez les Dogons, Inari chez les japonais,... Vulpes, ici ou ailleurs, continue d'inspirer à l'Homme des voix intermédiaires, au delà du bien et du mal, une étrange faculté sympathique de juger librement.




Le Milieu

Lieu commun :
Paris grand ! Paris musée ! Paris concentré ! Mais Paris vivante… surtout aux endroits affranchis de la gestion. Cette Ville totale ne semble plus avoir besoin d'être présentée. Mais dans ce Climat Océanique dégradée, où la topographie révèle des collines sous le manteau de toit gris que le métropolitain fait oublier, l'urbain fantasme. Cette cuvette dans le Bassin Parisien, aujourd'hui, passe des strates aux trames, et, au fil de l'eau, la Seine modèle toujours ses rives.

Singulier :
Parfois hors du contrôle, la biodiversité fait son lit. Malgré les dérives psycho-géographique, les Bretons, les catacombes, les grandes explorations ou les petites révolutions, malgré toutes ses lumières, à Paris, il nous est difficile d'y voir clair dans le jeu du vivant. Par exemple, la petite ceinture devient un couloir des miracles où le marginal croise l'indigène Pipistrelle.

Vincennes :
Le terrain d'étude situé donc à Paris est centré sur les bois de Vincennes. Le parc est de 995 hectares. Il réunit des équipements (hippodrome, vélodrome, écoles, ferme pédagogique, …), plusieurs lacs artificiels, différentes essences d'arbres. Il fut un terrain de chasse des Rois, un champ de tir et d'entrainement militaire après la révolution, puis à la guise de Napoléon III, Alphand esquissait, creusait et plantait, ce que, aujourd'hui, le website des bois de Vincennes décrit comme le poumon de Paris (lien sur le site : http://www.boisdevincennes.com).


Habitat :
Des terriers de Renards sont localisés dans les bois de Vincennes. Bien que les obstacles divers sont nombreux, le parc n'est pas clôturé, ce qui permet à Vulpes vulpes de se mouvoir la nuit et peut être même de rejoindre les Buttes-Chaumont, via la petite ceinture. N'ayant pas de données précises sur les Renards Parisiens et la manière dont ils se meuvent, ce projet soulève des questions sur la place de ces prédateurs dans cette ville. Grâce à ces 2 individus en liberté surveillée, nous pouvons analyser des interactions.

Le piégeage

Capture :
Pour suivre ces 2 individus, il nous faut les capturer. Cette action n'est pas anodine. Comme la "Nature", cet animal est sujet de droit. Ainsi, il faut respecter la législation Française en vigueur et suivre une procédure (faire un lien avec légifrance). Ensuite le piégeur agrémenté et muni des autorisations s'engage sur le terrain. Après avoir appâté la proie, habitué les animaux, il pose des pièges. Ces derniers sont de différentes qualités, bien employés, avec des visites nocturnes quotidiennes et une veille vétérinaire, le piégeage présente des risques maîtrisés pour Vulpes vulpes. Les 2 renards capturés, nous les manipulons avec toute l'attention et le respect qu'il nécessite. Un compte rendu de l'opération de piégeage sera détaillé prochainement sur http://www.vulpevulpe.com.


Le radio pistage :
Une fois Vulpes vulpes capturé et ses prélèvements pour un bilan de santé effectués, nous lui posons un collier GPS (de type Retrieva (faire un lien)) afin de suivre ses déplacements. Pour respecter leur tranquillité, les résultats de leurs déplacements seront diffusés avec un décalage, de plus, l’emplacement de leurs terriers et leurs lieux de repos seront cachés. Au bout d'un mois les colliers GPS tombent d'eux-mêmes car ils sont équipés de système DROP OFF (de type TRD de Lotek (faire un lien)), ils recouvrent ainsi une certaine liberté en milieu urbain. Nous garantissons ainsi le bien-être des 2 individus.




Caroline Henry

Docteurs en éco-éthologie
Télécharger sa thèse (PDF)

Pauline Hubert

Docteurs en éco-éthologie
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Le Parc Zoologique de Paris

(Muséum National d’Histoire Naturelle)
www.mnhn.fr

Les Services des Parcs de la Ville de Paris


Retrieva


Geotraceur


Lotek


Romain Jacquet

webmestre
www.corcules.com

Thierry Boutonnier


Remerciements
Fabrice Bernard
Lauranne Germond
Caroline Henry
Pauline Hubert
Sylvie Laidebeurre (mnhn-Zoo de Vincennes)
Alexis Lecu (mnhn-Zoo de Vincennes)
Lotek (Mario Henriques)
Michel Neff
Retrieva et geotraceur ( Andy Stewart, Jon Bryan, Charles Marinier)
Le WWF
Carole Balducci
François Moutou
Philippe Clergeaux
Marc Artois
Alexis Martin
François Léger
Richard Bigburn
Yves Handrich (CNRS - CEPE)
François Ogé (biotope)
Marie Lazarine Poulle (dir CERFE)
Philippe Cannesson (biotope)
Michel Catusse, François Léger,Samatha Rossi, Sandrine Ruette (ONCFS)
Émilie collavet



Bilbiographie

"Un Eléphant dans un Jeu de Quille",
Pierre Barbault, Edition du Seuil.

La thèse de Caroline Henry disponible sur le site du CERFE :
Henry04_PhDrenard.pdf

La thèse de Pauline Hubert du CERFE :
Hubert2008_PhD herisson.pdf

"Le Renard"
Jean Steve Miea, Edition Delachaux et Niestlé.